la nuit tu marches tu cours encore tu arpentes tes vieilles plaines et le vent il souffle les brindilles et la poussière se lève - la nuit tu marches tu cours encore épuisé dans les tunnels de tes existences expire inspire dans un noir et l'orage ça te secoue à peine - la nuit tu marches tu cours encore comme un chien errant le béton c'est ta planète et tu l'achève des bâtons de dynamite plein les poches.
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