Immatériel

Le toutim pour commencer par s'inscrire à la BU Angers, après y avoir passé trois années, puis départ et paperasse : quittus et autres. Alors quand c'est le retour, le cerveau informatique dans son grand tracas.
Pour autant très bon souvenirs du lieu. Plein de bouquins, c'est ce qu'on lui demande. Mais aussi, nombreuses les salles informatiques, wifi disponible, larges couloirs, éclairage ad hoc, blanc c'est blanc, expositions.

Et depuis peu : possibilité d'emprunter "livrels", "readers", "ebooks". Très bonne idée. Pas avec les moyens d'un étudiant qu'on peut se payer ce genre d'outils. Emprunt sans caution. A Angers, ils ont choisi le cyBook de Booken. Je ne fais pas publicité, simplement testé ce modèle très précisément, et apprécié largement.

Le livre est chargé d'une partie du catalogue publie.net. Déjà question. Peut-on appeler "livre" la machine ? Alors que dedans, rangés dans la bibliothèque, des livres, encore. Alors non : dire la machine.

Mise sous tension un peu lente. Puis l'écran encre électronique. Fichier schémas explicatif dans la bibliothéque, pas mon domaine. Compris l'essentiel : ce n'est pas un écran retro éclairé. Ou quelque chose dans le genre. Gare aux termes techniques. Concrêtement : comme un livre, impossible de lire dans le noir, mais tout à fait lisible en plein soleil, ou sous une lampe.

Prise en main comme un bouquin, deux mains ou bien une seule. Pèse moins de 300 grammes. Tourné de page main droite, avec pad. Pas de perte de temps à la lecture, je ne crois pas tourner la page d'un livre ordinaire en moins d'une seconde. Affichage. Choix de la taille du texte, zoom, police. Confort.

Première lecture, Dominique Viart : Quel projet pour la littérature contemporaine.

Pourtant, immédiatement, se demander, est-ce que ça tient avec, exemple, Antoine Emaz ?

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