avoir parlé vrai une bonne fois avant de filer à toutes blindes sur la route ordinaires - non rien n'est là banal tout est réel et après souffle file - et comme c'est lui et qu'il dit la crise la fin peut-être de quelque chose et qu'il t'a déjà dit tellement à travers tout le silence - les possibles et les plaines immenses qu'il met à jour.
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3 commentaires:
au lieu de
parler fin,
parle rebond -
banal tout est réel
on peut "inverser" le désordre usuel des mots et "ça donne"
réel tout est banal
(sans qu'il y ait problème : il faudrait écrire "l'éloge du banal" comme a été écrit - par un nippon forcément - un "éloge de l'ombre"
(note : la revendication de la banalité comme antidote à la blingblinguité ? )
(note 2 : et personne - oh non - ne "présente des excuses" pour sa banalité )
oui banal et seulement poussière rien que poussière - un poète nippon dit ça parfaitement - là soufflé par le vent - et qu'on rebondisse sur nos fins quotidiennes.
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