14/10/2008

le long souffle d'un marteau piqueur dans le bitume bitume qu'on défonce sur les quais – et la chaleur pour ce milieu d'octobre les feuilles mortes pourtant en tas sur les trottoirs les escaliers – je ne compte plus les mendiants les mains tendues et la tranquillité du marché Saint-Antoine – c'est comme énumérer les marques des bagnoles fusant sur l'enrobé - ça ne change rien.


Si jamais il y avait une solution elle serait en toi. Alors le bitume.

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