20/10/2008

Les mots c'est comme les images. Parfois ça reste. "L'au jour le jour/tel quel/pas vivable/pour bien trop d'hommes" -Antoine Emaz.

Et tu peux marcher dans la ville parcourir bitume, sans que cela ne cesse.

4 commentaires:

HK/LR a dit…

ah ! citation emazienne pur jus !
tout l'humour de l'Antoine !
(commentaire écrit avec le canon scié de ma winchester appuyé contre la tempe !!!!!)
(mais heureusement que je n'ai pas appuyé sur la gachette à chaque poème d'AE que j'ai lu)

SebMénard a dit…

yep! et le plein de citation emazienne today en bossant trois heures au Silo (la BM de Lyon) sur des bouquins, des articles etc...
tout va bien, aucune envie suicidaire, pour l'instant ça tient, et même rire devant cette fin de poème En deça :

"De mémoire, rien ne filtre.

Alors ?

Le jour commence avec cette viande livrée.

Voilà ce qu'on peut dire"

HK/LR a dit…

ah ça diantre ! une BM qui s'appelle "le silo" !!! il faut transmettre ça immédiatement à lucien suel dont un des multiples blogs s'appellent "silo" et où il collectionnent les "occurences" de ce mot dans la littérature !

"le jour commence avec cette viande livré" : un alexandrin !!!!! (sauf si dierese : vi-ande" mais "j'entends" mal AE faire des di-éreses

SebMénard a dit…

alexandrin
ouais

jamais su repérer ces machins-là (souvenir d'Antoine Emaz à une lecture de JP Dubost en repérer un à la volée...!)
d'ailleurs, pense bientôt ouvrir blog de travail pour ce mémoire, pour faire tourner infos etc...

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