dans la nuit lampadaire et nul chien errant dans les rues bitume – le souffle léger d'un trolleybus et le claquement des cables électriques – quelques phares de bagnoles dans la nuit – un bus est là qui clignote épuisé contre un arrêt deux bancs vides – la bouche de métro et vertes trois flêches indiquent la route à suivre – deux panneaux publicitaires éclairent le trottoir.
Cette vision comme très clair dans ta tête ce soir :
la porte arrière d'un semi-remorque dans la nuit – la rambarde de sécurité tu es sur une autoroute et, les bandes blanches défilent accélèrent tes sensations – la lune éclaire fortement le paysage petites montagnes qui se découpent au loin l'horizon – et les quatres feux rouges dans le noir filent faiblards –
et dans la nuit calme et tranquille, tu conduis vers d'autres réels.
Tu dis quelques mots, puis revient ce souvenir. Faut-il chercher les traces de toutes nos existences dans les frictions quotidiennes ? Bitume, bitume, ou encore, bouche de métro, enfin qu'importe, lampadaire dans la nuit, et ça souffle là haut.
Cette vision comme très clair dans ta tête ce soir :
la porte arrière d'un semi-remorque dans la nuit – la rambarde de sécurité tu es sur une autoroute et, les bandes blanches défilent accélèrent tes sensations – la lune éclaire fortement le paysage petites montagnes qui se découpent au loin l'horizon – et les quatres feux rouges dans le noir filent faiblards –
et dans la nuit calme et tranquille, tu conduis vers d'autres réels.
Tu dis quelques mots, puis revient ce souvenir. Faut-il chercher les traces de toutes nos existences dans les frictions quotidiennes ? Bitume, bitume, ou encore, bouche de métro, enfin qu'importe, lampadaire dans la nuit, et ça souffle là haut.
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