02/02/2009

plages sans grains où tu n'as plus l'écrire - et tu te gaves parce qu'à travers eux - ce qu'ils disent tu en sais un peu plus pourtant tu n'oublies pas il faut vivre - après ça s'estompe au loin comme les deux feux stops rouges qui s'amenuisent dans le tout droit de l'horizon.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

03/02/09

deux trous sanglants et de la musique sybarite pour reprendre pied – c'est fait – haleter car la mâchoire trépide se diriger aux métamorphopsies : entrelacs de masses fluentes non métamorphosées une voix en fait deux en font des sexes perceptibles
au goût du filage des textes se combinent

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