07/01/2009
nombreuses les carcasses toutes essoufflées posées là – dans le froid bleu d'un janvier silencieux – au loin peu ne bougent même ici – dans les ruelles – rien sinon le souffle – le vent balaie – et toi aussi carcasse.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vos avis, participations, échos...