06/02/2009

C'est un peu comme si tu fermais les yeux. Plus rien ne vit et toi même où tu es comment tu es non, puisque tu ne, plus vraiment. Reste qu'un ou deux qui vont debout te suffisent et sont là qui te refilent le volant, bitume bitume.

2 commentaires:

HK/LR a dit…

je lis ça , je relis , et re relis
et reste perplexe
ne pouvant -impossibilité biologique- être merplexe :

une seule interprétation possible : les mecs ! fallait rentrer à pied ! (I joke)

SebMénard a dit…

complétement merplexe c'est exactement ça, merplexe. Et permex aussi.

Parfois rien n'est clair,
dans l'écrire et lire,
rien ne change.
Pas parlé du vivre.

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