29/01/2009

parfois tu n'as plus rien non pas le besoin enfin tu es dans un autre réel et il est plein à peine le temps et pas le – enfin non c'est un bitume toujours et plein de son vrai à lui mais c'est comme beaucoup à la fin – ça se tait – et toi tu parles.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

30/01/09

Une incontrôlable sparticule à dézinvestir

'La brusque sensation que la plaine s'abaissait.

Vivement

Obéissant forcément au pilotage supposé d'automations et des réflexes embarqués.

La grosse connerie.'

dans l'attitude rétractée

un sacher se plaint à peine de gouttes de parlé

dès le départ

'Au chaos engendré par tout un chacun répondaient les rétro-fusées des moyens de transport vers la

base.'

on peut voir double quand on sue

l é 's. bérard'

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